J’impose d’ailleurs cet univers à tout mon entourage : plantes vertes et succulentes à foison, visionnage pour la 2000e fois de La forêt d’émeraude de Boorman (j’adore ce film, qui m’émeut toujours autant à chaque fois que je le vois), les documentaires d’Arte sur la forêt amazonienne…
Sur des toiles de coton noires ou blanches, je peins des formes de feuilles – réelles ou imaginaires -, je rebrode les contours, imagine des dispositions sur un mur… pour créer des décors éphémères le temps d’un dîner.
Et une disposition façon planche naturaliste (et des lieux de cueillette imaginaires, mais qui font rêver).